Je ne sais pas si c'est mon analyse,
mes épreuves,
ou que je commence à grandir.
Mais je me sens libre like the river.
Hier j'ai pété un câble et réglé son compte (verbalement, bien sûr)
à une de mes collègues qui me harcèle de sa connerie depuis quelques jours.
Extrait 1:
- Elle : tu as 22 ans, toi non ?
- Moi : non, 26.
- Elle : HAN ? 26 ? VAINTEUSISSE ?
Mais c'est énoorme !! Attends, tu te rends compte !!
Ca veut dire que dans QUATRE ANS tu as TRENTE ANS !!
- Moi : ...
Extrait 2:
- Elle : Tu vois c'est important de relativiser,
d'ailleurs je l'ai écrit dans mon skyblog : "Il faut savoir relativiser".
- Moi : ...
Et j'en passe.
A la fin de la journée j'ai ricané gentiment de ses
commentaires sur mon âge avec ma chef, qui a aussi 26 ans.
Elle s'est bien entendu vexée, du haut de ses 19 ans et demi.
( comme elle s'était vexée que je lui aie dit sans méchanceté que, certes j'avais un blog, mais que ce n'était pas du même genre que le sien ... de (sky)blog)
En sortant du taf, elle maugréait que "alors là plus jamais je parlerai d'âge"
et nianiania et nianiania
Et mon cerveau a frisé d'un coup, j'ai senti l'oeil du tigre, et je lui ai dit que ça commençait à bien faire, qu'elle était lourde.
Et je me fous de sa mesquinerie,
qui ne tardera pas de s'exprimer dans les jours qui viennent.
Je me fous qu'elle décide de m'ignorer subitement
alors qu'elle se la jouait super copine avec tout le monde.
Et si jamais elle la joue hypocrite, je me fous de ses sourires faux,
dégoulinants de mauvaiseté.
I'm free like the river.
à 19:53